vendredi 13 août 2021

Georges Torchy au travail ... plagiat en cours !

Plagiat ! … ça recommence ou ça continue ?

Voici Georges Torchy au travail !
 
 
J'en suis donc à mon xième plagiat biennal, le sommet ayant été atteint en juin 2019 grâce au célèbre peintre auto-proclamé "porte-drapeau de l’art pictural auvergnat à travers le monde et plus particulièrement au Japon" (voir publication antérieure).
 
En fait, les deux forfaits ont été perpétrés à la même période 2018-2019 mais je n’ai eu connaissance de l’activité Torchy que depuis quelques jours suite aux alertes communiquées par deux amis peintres. 
 
Il faut bien avouer que cette dernière découverte n’a pas l’ampleur d’une expo Casanova au Château de Parentignat.
Le talent de Georges Torchy n’a pas encore l’envergure de la réputation du maître auvergnat et cette constatation est un peu frustrante.
Il n’empêche ; l’ardeur du plagiaire, obligé de torcher encore plus en raison du succès commercial de son entreprise, fait plaisir à voir. (L’URSSAF Artistes-Auteurs doit, elle aussi, s’en réjouir.)
Il l’écrit lui-même : "Toujours en préparation des expositions à partir de septembre ! Mon atelier a été envahit par des acheteurs et plusieurs de mes toiles ont été vendues. Obligé de travailler davantage pour être prêt !"  
Au fait, les nombreux (si l’on en croit Monsieur Torchy) acquéreurs ont-ils eu conscience de l’imposture au moment du règlement de leur précieux achat ?
 
Ne parlons pas de l’égo de Georges Torchy qui se nourrit sans complexe du travail des autres. Nul doute que Georges connait Venise mieux encore qu’un Moiras, nul doute qu’il a lui aussi lu tous les livres libertins inspirés par les eaux glauques de la lagune, et que jamais il n’a songé à "recopier bêtement" (dixit Moiras) le travail d’un peintre dont il ignore même le nom.
 
Puisque le Maître de l’Atelier d'Estouteville ne veut pas révéler ses sources nous allons tenter d'éclairer ses admirateurs ... avec quelques exemples parmi la bonne vingtaine de "copies" inavouées. 
A noter que le plagiat, chez Torchy, ne concerne pas qu'une seule victime ; il peut aussi s'en prendre aux oeuvres de Jeremy Mann ! Excusez du peu ! (Voir Torchy plagiat Mann). 

(*) inutile de consulter la page Facebook Georges Torchy l'Atelier d'Estouteville - Shopping et vente et détail ce monsieur a effacé presque toutes les traces de ses copies ridicules...
 
 


 







 

Plagiat, Georges Torchy toujours assidu ...

 A propos de plagiat, Georges Torchy toujours au travail ... (Georges Torchy l'Atelier d'Estouteville)

On ne sais pas ce qu'en pense Jeremy Mann ...
 



 

lundi 25 janvier 2021

Il y a dix ans ... Reine Pajot-Védry (1924 - 2011)

C'était en janvier 2011. Il y a donc dix ans que ma mère, Reine, s'est éteinte.

Certains de mes amis me font la faveur de reconnaître à mes travaux quelques qualités, notamment concernant mes dessins. Je n'ai aucun mérite ; c'est à ma mère que je dois ce "don", cette facilité.

Mon premier souvenir de très jeune enfant, mon souvenir le plus lointain, est la silhouette d'un arbre dessinée par mes soins sous les yeux de ma mère. Elle devait avoir 23 ou 24 ans, j'en avais 2 ou 3.

Je n'ai jamais eu la chance de profiter d'un enseignement quel qu'il soit, mais j'ai toujours cultivé, sans effort, ce don inné du plaisir de dessiner. J'ai donc toujours dessiné, longtemps en amateur, et ce mode d'expression reste, aujourd'hui, celui qui me convient le mieux.

Les aléas de la vie n'ont pas permis à Maman de profiter pleinement de ses propres capacités artistiques, pourtant la Société des Beaux-Arts du Périgord a présenté quelques unes de ses terres cuites en 2003 puis de lors de son  80e Salon Biennal en 2011. 

Une page du catalogue lui était consacrée …